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16 novembre 2014 à Vauconcourt

Dimanche 16 novembre, je découple 12 chiens, 11 petits bleu (Aïdi, Dakota, Easy, Fanfare, Ficelle, Gallia, Garonne, Gironde, Hermione, Jason et Jersey) et 1 beagle (Doly) sur la commune de Vauconcourt derrière la carrière.

Ma petite belle sœur est de la partie.

A peine descendue du camion, les chiens se récrient même les jeunes (Jason et Jersey), nous sommes dans un semi de blé. Les chiens descendent, Jason est avec moi et le lièvre gicle devant lui, c’est parti.

Fanfare et Aïdi rallient à Jason, les autres sont sur la quête. Je décide de ne pas faire rallier mais ils entendent les autres devant. Du coup, je fais rallier les autres mais la menée est décousue et vite arrêtée, car les chiens de devant entendent ceux de derrière et vis versa.

Je décide d’arrêter les chiens et de repartir en quête dans le semi. Je mets les chiens dans un bosquet mais rien, sauf Doly qui lève un chevreuil, deux trois chiens partent mais vite sanctionnés.

Les chiens repartent en quêtent et rapprochent une voie, au bout de 5-10 minutes, c’est le lancé. Tout le monde participe à la menée, impeccable après la correction sur le chevreuil. Deux trois chiens reviennent, Ficelle, Doly et Jersey. Jason est toujours avec la meute. Je vois les chiens au loin mener, un beau trait bleu se dessine dans le champ au loin. Je vois le lièvre revenir vers nous mais à 200m de nous. Il s’assoit et écoute les chiens puis repart mais je ne vois pas où.

Les chiens arrivent où était le lièvre et descendent comme des avions vers le bois, la menée est très sonore, superbe à entendre dans le bois. Les chiens remontent en direction du lancé, Sabrina me dit qu’elle a vu un chevreuil sortir, je m’inquiète un peu mais non, aucun chien derrière, super, Jason est toujours de la partie. Mais je n’ai revu le lièvre.

Nous sommes chez les voisins, cela fait 40-45 minutes que les chiens mènent. Je décide d’arrêter les chiens et de ne pas travailler le défaut. Je suis satisfait de mes chiens, sacré week-end. Il est 10H30, je me dirige vers le camion mais arrivé au véhicule, je me dis, « oh, il est tôt pour rentrer », je décide de quêter de nouveau dans le semi et après quelques prises de voie, nous levons un troisième lièvre qui partira tout droit vers Fleurey puis Renaucourt, je suis cuit, je n’arrive plus à suivre. Je regarde l’heure, il est 11H45, je repars au camion afin de récupérer les chiens et de rentrer pour aller voir la future maman à l’hôpital.